La République Démocratique du Congo connaît une pauvreté de masses avec de grandes disparités du niveau de revenu entre les milieux urbain et rural. Toutefois, selon les données de l’Enquête 1-2-3 de 2012-2013, lorsque l’on considère l’incidence globale, la pauvreté monétaire s’est améliorée entre 2005 et 2012. Cette enquête rapporte que le nombre de personnes ayant un emploi est estimé à 27.700.000 dont près de la moitié sont constituées de femmes. L’emploi dans le secteur tertiaire (produits et services) prédomine en milieu urbain avec plus des deux tiers des emplois, dont 83 % à Kinshasa. Le secteur agricole informel occupe 59,7% de la main d’œuvre. Le secteur industriel est présent avec 20 % des emplois. Les emplois du secteur formel ne représentent que 11,5 % de l’ensemble des emplois.
Néanmoins, ces deux dernières années l’économie congolaise a subi les effets négatifs de la pandémie COVID-19. TABIBI pense que la pandémie crée toujours des situations délicates et inconfortables dans les communautés du monde. C’est le cas de la COVID19 qui ne cesse de tuer non seulement les humains mais aussi les économies du monde. Cette destruction d’économie s’intensifie et n’épargne aucun secteur. Ça apporte des effets négatifs sur la vie de toutes les entreprises congolaises.
Il est vrai que, pour pouvoir exercer son activité, une entreprise a besoin de se doter des ressources nécessaires qu’elle va utiliser de façon orthodoxe pour l’atteinte des objectifs ainsi que son évolution.